La Journée mondiale de l’eau a lieu le 22 mars de chaque année depuis 1993.

Cette Journée permet, en cette période de crise sanitaire mondiale due à la COVID-19, de rappeler que le manque d’eau salubre et de moyens d’assainissement est la première cause de maladies dans le monde.

En première ligne, dans le silence et loin des regards, les plus jeunes paient un tribut particulièrement élevé. Environ 4 500 enfants meurent chaque jour de causes liées à de l’eau insalubre et au manque d’équipements sanitaires de base. 

L’accès à l’eau constitue un droit fondamental, mais il y a encore plus de 800 millions de personnes qui sont privées de tout service élémentaire d’eau potable.

Un habitant sur quatre dans le monde se trouve en situation de pénurie hydrique grave.

Mourir en raison d’une eau insalubre est, à notre époque, totalement scandaleux et inadmissible. Pourtant, peu de pays dénoncent cela. Loin des regards et des médias, cela n’intéresse pas, ou très peu.

Pourtant, de nombreux pays riches, y compris la France, sont susceptibles, demain, d’être impactés par un manque d’eau. On estime que près d’un quart des êtres humains sont menacés par une pénurie d’eau dans le monde. La pénurie d’eau reste l’une des plus grandes crises à venir, dont personne ne parle. 

Que ce soit dans le cadre d’opérations de secours ou de développement, l’accès à l’eau potable a toujours été une priorité pour les pompiers humanitaires du GSCF.