L’inacceptable d’hier est devenu acceptable aujourd’hui, mais nous gardons espoir pour stopper cette banalisation.
La question qui se pose est avant tout de savoir si nous avons encore des gouvernants qui ont conscience que des drames se jouent sous nos yeux et à nos portes.
Prenons exemple sur certains domaines qui nous tiennent à cœur.
La pandémie que nous vivons a montré l’amateurisme du gouvernement, voire les mensonges, que nous avons tendance actuellement à oublier. Un livre relate ce que le GSCF a vécu les premières heures du confinement (La Mascarade démasquée).
Immigration : des personnes, notamment des enfants, meurent pour fuir des guerres. Ces drames sont banalisés. Pour rappel, le 20 novembre, nous lancions un communiqué à propos du risque de voir des corps d’enfant échoués sur nos plages et, le 24 novembre, 27 personnes perdaient la vie, dont des enfants. Le plus jeune avait 7 ans.
Sans abris : on assiste, on dépense des millions, on communique, et rien n’avance, les SDF étant devenus une normalité dans le mobilier urbain, tellement ils se fondent dans celui-ci, devenant totalement invisibles. Aucune ambition politique pour éradiquer ce problème. Pourtant, il y a urgence : un million de personnes vivent hébergées chez un tiers… Des familles sont chassées de partout, vivent d’hôtel en hôtel, entraînant des dépenses faramineuses pour des situations de vie inacceptables.
Vaccins : on agit égoïstement quitte à priver des millions de personnes de liberté, oubliant d’alimenter les pays pauvres en vaccins, et sachant que tant que ces pays ne disposeront pas de vaccination en masse, il y aura des variants et encore des variants.
Catastrophes naturelles en France : combien de communes sont délaissées, abandonnées après le passage des médias et des nombreuses personnalités politiques qui se déploient pour être écoutées et entendues, et surtout promettre ; promesses qui ne seront pas suivies d’actes ?
Bien entendu, nous pourrions poursuivre et évoquer d’autres domaines qui touchent de nombreux Français.
Ce que nous évoquons aujourd’hui, vous en avez conscience et nous n’inventons rien. Quelles que soient vos opinions politiques ou votre position dans notre société ; nous avons besoin de vous aux côtés de notre fonds de dotation.
Bien entendu, le fonds de dotation des pompiers humanitaires du GSCF n’a pas cette prétention d’avoir les solutions à tout. Malgré cela, nous ferons tout ce qui est dans nos moyens pour agir et soutenir des projets, qu’ils soient en faveur des victimes de catastrophes naturelles ou humaines, ici ou en dehors de nos frontières, ou en faveur des personnes à la rue.
En soutenant notre fonds de dotation, vous soutenez de nombreux projets. Aujourd’hui, la société a besoin de garde-fous pour éviter aussi bien ces banalisations citées en amont, mais aussi pour faire entendre le bon sens, qui permettra d’avancer et sûrement de sauver des vies.
Rejoignez-nous en faisant un don au fonds de dotation des pompiers humanitaires du GSCF.